Le CDC chinois averti du nombre croissant de cas de nouveau variant du covid-19

Le CDC chinois, averti du nombre croissant, de cas de nouveau variant du covid-19.

NBC rapporte que la Chine fait face à un nouveau rebond de covid-19 qui devrait atteindre 65 millions de cas par semaine d’ici la fin du mois de juin.

Cette nouvelle intervient des mois après la fin de la politique zéro-Covid de la Chine qui incluait des confinements, des tests de masse et des quarantaines forcées.

L’expert des maladies respiratoires Zhong Nanshan a diffusé de nouvelles données dans une conférence médicale donnée dans la ville de Guangzhou. .

NBC indique que les Etats-Unis et la Chine ont arrêté de publier des points hebdomadaires sur le nombre de cas, ce qui rend l’ampleur de la vague actuelle difficile à déterminer.

NBC indique que les Etats-Unis et la Chine ont arrêté de publier des points hebdomadaires sur le nombre de cas, ce qui rend l’ampleur de la vague actuelle difficile à déterminer.

Le département d’état américain, qui a retiré l’obligation de test pour les voyageurs chinois en mars, ne s’est pas exprimé sur la mise en place de nouvelles restrictions.

Le porte-parole de ce département Matt Miller a affirmé que la situation était gérée en collaboration avec les Centers for Disease Control and Prevention.

Le porte-parole de ce département Matt Miller a affirmé que la situation était gérée en collaboration avec les Centers for Disease Control and Prevention.

Nous ne voulons pas voir des personnes souffrirent du covid-19, où que ce soit, Matt Miller, porte-parole, via NBC.

D’après Miller, les Etats-Unis souhaitent travailler en coopération avec la Chine , “sur des challenges internationaux, incluant la santé et le maintien de lignes ouvertes de communication.

D’après Miller, les Etats-Unis souhaitent travailler en coopération avec la Chine , “sur des challenges internationaux, incluant la santé et le maintien de lignes ouvertes de communication.

Le chef épidémiologiste du CDC chinois a confirmé que 80% des 1,4 milliards de chinois avait été infecté par la première vague d’Omicron.

Le chef épidémiologiste du CDC chinois a confirmé que 80% des 1,4 milliards de chinois avait été infecté par la première vague d’Omicron.

NBC précise que l’immunité amenée par cette vague précédente pourrait augmenter le risque de réinfection en Chine 

Combattre la désinformation avec Radio DAB+ “Pulse Media News”™

52% des Français pensent que les médias qu’ils utilisent sont “contaminés par des informations non fiables”.

Les Français sont 81% à considérer avoir déjà été exposés à des “fake news”.

L’accélération du flux d’information – liée à l’essor des nouvelles technologies et des médias sociaux – a marqué un tournant dans l’accessibilité et la rapidité d’information (quasiment instantanée). De même, le numérique a non seulement décuplé la vitesse de diffusion, mais également multiplié les canaux de propagation de la désinformation – informations faussées diffusées pour influencer et manipuler l’opinion publique. Si les campagnes de diffusion de fausses informations préoccupaient les gouvernements par le passé, la désinformation est devenue aujourd’hui l’un des enjeux majeurs des pays démocratiques. Comment discerner une « fake news » ou « intox » d’une information sourcée et vérifiée ? Comment combattre la désinformation ? Pour se faire, il est notamment essentiel que les acteurs gouvernementaux, de la société civile et de la presse se coordonnent avec les entreprises technologiques, les vérificateurs·trices de faits et les institutions académiques.

Alors que nous sommes inondés d’informations en continu, il convient pour les journalistes, les entreprises et le grand public de distinguer plus facilement le vrai du faux…

Dans ce combat contre les fake news, la data et l’IA peuvent être de précieux atouts. 

 Le rôle des réseaux sociaux : dénoncer et combattre les fake news 

Les réseaux sociaux ont un rôle primordial à jouer dans la non-prolifération de ces fausses informations, en mettant en place des nouveaux process de vérification de ces nouvelles et autres actualités, largement partagées sur les plateformes. 
 
C’est le cas notamment de l’entreprise Facebook. Cette dernière, qui fut mise en cause pour avoir été l’un des deux principaux canaux de distribution des fake news (avec Twitter) lors des élections américaines, est devenue la première entreprise à tenter de mettre en œuvre une solution, avec notamment les « fact-checkers » (vérificateurs de faits) qui font leur apparition sur nos fils d’actualité en 2017. Ainsi les 1,73 milliards d’utilisateurs quotidiens du réseau social, ont la possibilité de signaler certains contenus qu’ils jugent faux, erronés ou indésirables. Par la suite, Facebook travaille avec des partenaires médias pour vérifier la précision des ces informations (Third party Fact-checking). Une fois l’information révisée, elle sera identifiée comme fake news, le cas échéant, et la portée de la publication sera diminuée dans l’algorithme.  

Ces solutions ont cependant des limites ; en effet, certains articles légitimes sont dénoncés à tort, entretenant la confusion, nourrissant le doute sur l’info / infox, donnant un faux sentiment de sécurité sur la capacité des « autorités » à vérifier et fiabiliser une source ou une information. 

La data et l’intelligence artificielle à la rescousse pour contrer l’essor des fake news 

À l’ère de l’open data et du digital, il convient par définition de se méfier de toute information (texte, vidéo…) provenant d’un réseau social. Certes la défense et la contre-attaque s’organisent et de nouveaux outils apparaissent

De nombreux organes de presse ont aujourd’hui leur rubrique de fact checking et aujourd’hui beaucoup de technologies d’analyse de données sont à disposition, qui permettent de vérifier les informations et les sources et, de traquer les manipulations, comme : le text mining, l’analyse des sentiments, la catégorisation automatique, le deep Learning (sur les images mais pas sur les concepts). 

Nombreuses sont les entreprises qui ont travaillé sur le sujet et ont apporté des solutions. On peut citer notamment Google, qui dès 2015 a présenté une nouvelle méthode permettant d’attribuer un score aux pages web en fonction de la précision des faits qu’elles présentent. Cette technologie vise à comprendre le contexte d’une page internet sans utiliser de signaux tiers tels que des liens. D’autres entreprises comme CrossCheck (pour les élections présidentielles) ou encore Décodex, développé par Le Monde, ont vu le jour afin de permettre d’identifier les fausses informations et de les démentir. 

Big data, open data entre dérive, régulation et contrôle 

Big data, open data… La boîte de pandore est ouverte. Certes la résistance s’organise, mais elle tarde à se structurer pour endiguer efficacement ce flot d’informations incontrôlables qui touche tous les pays, et qui doit être combattu unanimement et collectivement, localement pays par pays, mais surtout au niveau européen et plus largement au niveau international. 

D’où le rôle essentiel des experts de la data pour veiller, alerter et prévenir tout en se conformant à la réglementation. Des procédures strictes pour protéger les données doivent être impérativement mise en place. Cela passe par une surveillance accrue de l’accès et l’utilisation des données ainsi que leur hébergement pour maîtriser leur diffusion.  

Éduquer : une solution indispensable pour lutter contre les fake news 

C’est aussi une affaire de comportement et de responsabilité collective

Comportement des populations : en attendant que le Big Data, l’intelligence artificielle ou encore le Machine Learning permettent de mieux détecter les fake news, il est indispensable de se concentrer sur l’éducation des plus jeunes, de les informer afin de développer l’esprit critique, d’apprendre à décrypter les messages, textes, posts et autres images « douteuses » ; c’est le rôle des parents, c’est aussi le rôle de l’école, alors que certains établissements scolaires, pionnier en la matière, le font déjà.  

Combattre la désinformation aux États-Unis et au-delà

Nous travaillons depuis longtemps pour aider les auditeurs à lutter contre le fléau de la désinformation endémique aux USA. La prévalence des mensonges lors des récentes élections de mi-mandat aux États-Unis est le dernier rappel en date de la raison pour laquelle ce travail est tout aussi vital dans notre propre arrière-cour.

Nous avons répondu au besoin avec des programmes pour lutter contre la vague de désinformation dans le public anglophone américain et pour amplifier les sources fiables dans la couverture de tout, de la course du gouverneur du Nouveau-Mexique au second tour du Sénat de Géorgie.

Nous ne pouvons pas faire ce travail important sans votre soutien, et nous vous invitons à envisager de faire une contribution alors que nous approchons le départ de nouvelles Radio DAB+ “Pulse Media News”™

Radio DAB+ “Pulse Media News”™ est disponible à l’international et prend en charge les langues suivantes :

  • Anglais
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  • Portugais
  • Espagnol

Présentation des News locale dans la langue du coeur des auditeurs d’origines étrangères aux USA, car l’informations bien comprisent participent à une meilleur intégration dans le pays acceuillant et luttes contre les discriminations.

La Radio DAB+ “Pulse Media News”™ peut également modéliser et projeter des voix dans des accents et dialectes

En direct, local et alimenté par l’IA

Le premier contenu localisé au monde entièrement alimenté par l’intelligence artificielle.

PMNA utilise la technologie TopicPulse, qui analyse Facebook, TwitterInstagram et plus de 250 000 autres sources d’actualités et d’informations, pour identifier les sujets à la mode sur un marché local.

Ensuite, à l’aide de la technologie GPT-4, Radio DAB+ “Pulse Media News”™ crée un script pour une utilisation sur le Web-Newspapers et ensuite le diffusse à l’antenne via les Web-TV, Web-Radio, avec les voix de l’IA transformant ce script en un son convaincant.

Les collaborteurs des stations médias peuvent choisir parmi une variété de voix d’IA pour les émissions avec les voix de leurs personnalités existantes.

La programmation est disponible pour des tranches horaires individuelles, ou le Pulse Média peut alimenter toute les stations en automatique.

Radio DAB+ “Pulse Media News”™ génère également des messages sociaux, des blogs et d’autres contenus pour les plateformes numériques liés au contenu diffusé en temps réel.

Un module complémentaire TopicPulse Instant Video crée de courtes vidéos pilotées par l’IA sur des sujets d’actualité à usage social.

Faire face à la propagande, à la désinformation et aux fausses nouvelles avec Radio DAB+ “Pulse Media News”™

La propagande, la désinformation et les infox peuvent polariser l’opinion publique, promouvoir l’extrémisme violent et les discours haineux et, en fin de compte, saper les démocraties et réduire la confiance dans les processus démocratiques.

Il est vital pour les écoles d’offrir aux élèves une solide éducation aux médias et à l’information dans le cadre du programme scolaire.

Les enseignants doivent être bien formés dans la matière afin de donner aux élèves les compétences nécessaires pour comprendre et évaluer de manière critique l’information rapportée par tous les médias.

Les projets en partenariat avec les autorités nationales et locales et les organisations de médias sont encouragés.

Faits & chiffres

Deux tiers des citoyens de l’Union européenne déclarent lire ou entendre des fausses nouvelles au moins une fois par semaine.

Plus de 80 % des citoyens de l’Union européenne considèrent que l’existence de fausses nouvelles constitue un problème pour leur pays et pour la démocratie en général.

La moitié des citoyens de l’Union européenne âgés de 15 à 30 ans déclarent que des compétences en matière d’information et d’analyse critique leur sont nécessaires pour les aider à combattre les fausses nouvelles et l’extrémisme dans la société.

Qu’entend-on par propagande, désinformation et fausses nouvelles ?

Les termes « propagande », « désinformation » et « fausses nouvelles » ont parfois des significations qui se recoupent. Ils sont utilisés pour désigner les diverses formes sous lesquelles le partage de l’information peut – intentionnellement ou non – causer un préjudice – généralement en lien avec la défense d’une cause ou d’une vision morale ou politique particulière.

On distingue à ce titre trois utilisations bien différentes de l’information :

  • La mésinformation : information fausse qui n’est pas partagée dans l’intention de nuire
  • La désinformation : information fausse qui est délibérément partagée pour porter préjudice
  • L’information malveillante : information fondée sur des faits réels, utilisée pour porter préjudice[4]

Bien qu’aucun de ces phénomènes ne soit nouveau, ils ont récemment pris une ampleur inédite du fait de la généralisation de formes sophistiquées de technologie de l’information et de la communication. Le partage de textes, d’images, de vidéos ou de liens en ligne, notamment, permet à l’information de se propager en quelques heures.

Pourquoi est-ce important de sensibiliser à la propagande, à la désinformation et aux fausses nouvelles à l’école ?

La place que les technologies de l’information et de la communication occupent actuellement dans la vie des jeunes est telle que ceux-ci se trouvent particulièrement exposés à la propagande, à la désinformation et aux fausses nouvelles. Ils passent beaucoup de temps à regarder la télévision, à jouer en ligne, à chatter, à bloguer, à écouter de la musique, à poster des photos d’eux et à chercher d’autres personnes avec lesquelles communiquer en ligne. Leur connaissance du monde et leur perception de la réalité s’appuient dans une très large mesure sur les informations diffusées en ligne. Beaucoup de parents ne possèdent pas les compétences techniques suffisantes pour suivre l’activité en ligne de leurs enfants ou pour les sensibiliser aux dangers auxquels ils pourraient être exposés. Les écoles sont donc tenues de doter les jeunes des compétences en matière d’information et de réflexion critique qu’ils ne peuvent acquérir chez eux.

« La forte progression des fausses nouvelles et de la propagande ces dernières années rend essentielle l’acquisition par les élèves de compétences leur permettant de discerner le vrai du faux et de reconnaître un éventuel parti pris».

La capacité à faire preuve d’esprit critique face à la propagande, à la désinformation et aux fausses nouvelles en ligne n’est pas qu’un outil de protection, c’est aussi une compétence démocratique essentielle à part entière. Les capacités d’analyse et de réflexion critique, la connaissance et la compréhension critique du monde, y compris le rôle des compétences linguistiques et de communication, sont au cœur du Cadre de référence des compétences pour une culture de la démocratie du Conseil de l’Europe. Elles occupent une place essentielle dans l’éducation à la citoyenneté numérique et l’éducation aux médias et à l’information.

« Il est absolument crucial que les établissements scolaires forment les futurs citoyens à la compréhension, à la critique et à la création d’informations. C’est à l’école que les citoyens doivent développer, et conserver, un esprit critique leur permettant de participer réellement à leur communauté».

La capacité à faire face à la propagande, à la désinformation et aux fausses nouvelles tant en ligne que hors ligne est également une compétence essentielle enseignée dans un certain nombre d’autres matières, comme l’histoire, la sociologie, les sciences, les études religieuses et l’art. Les jeunes peuvent par exemple étudier l’utilisation des slogans nationalistes et patriotiques, ou ce que l’on appelle la « propagande d’atrocités » pendant la première guerre mondiale en histoire ou les formes d’art mises au service d’idéologies particulières dans les cours d’art.

La publication sur les réseaux sociaux de commentaires négatifs visant les enseignants et les établissements est autre problème que les technologies de l’information et de la communication peuvent poser pour les établissements scolaires. Ceux-ci constatent que les parents ainsi que d’autres personnes ont de plus en plus tendance à recourir aux médias sociaux en cas de litige ou de désaccord avec l’école, concernant par exemple le règlement ou la politique de l’école ou l’attitude du personnel. Dans certains établissements, la question de savoir comment réagir face aux commentaires ou aux campagnes critiques ou diffamatoires relayés en ligne est devenue un sujet de préoccupation pour les chefs et directeurs d’établissement

Quelles sont les difficultés qui se posent ?

Les établissements qui cherchent à traiter la propagande, la désinformation et les fausses nouvelles comme un enjeu pédagogique ou social se heurtent à un certain nombre de difficultés :

  • L’activité en ligne des enseignants et leur expérience dans ce domaine sont généralement assez limitées et font qu’ils sont souvent à la traîne par rapport à leurs élèves. Dès lors, ceux qui ne s’investissent pas suffisamment dans leur propre développement professionnel peuvent hésiter à aborder ces thèmes en classe.
  • La technologie et l’activité en ligne des jeunes évoluent à une vitesse telle qu’il est difficile pour les enseignants de se tenir informés des dernières nouveautés dans ce domaine. Les programmes de perfectionnement professionnel eux-mêmes peuvent rapidement devenir obsolètes.
  • Il peut s’avérer difficile de trouver un créneau ponctuel dans l’emploi du temps des élèves pour étudier les questions de création et de partage de l’information. S’il est possible d’en aborder certains aspects dans différentes matières, il peut être problématique de trouver une fenêtre dans un programme déjà surchargé pour aborder de front ces phénomènes comme des sujets à part entière.
  • L’expression « fausses nouvelles » ne signifie pas qu’il existe une catégorie de « vraies » nouvelles. Toutes les nouvelles sont sélectionnées et rédigées pour un public précis dans un but précis. Il peut être difficile pour certains établissements d’offrir la profondeur d’analyse et les compétences spécialisées pour traiter ces questions avec justesse, notamment en termes de compétence et de formation des enseignants.

Un message du Conseil de l’Europe

La lutte contre la désinformation avec RADIO DAB+ “PULSE MEDIA NEWS”™

La désinformation est l’une des préoccupations majeures des pays démocratiques. Derrière les fausses nouvelles, ou fake news, se cachent souvent des stratégies visant à manipuler l’opinion publique et à affaiblir les États et leurs institutions.

Les fausses rumeurs et la désinformation représentent depuis longtemps une menace mondiale pour la liberté et la démocratie. Mais aujourd’hui, le péril est d’autant plus grand que les plateformes numériques décuplent la vitesse de propagation des campagnes de diffusion de fausses informations. Ces dernières années nous avons pu assister à une accélération du flux d’information, mais aussi de désinformation, comme le montre notamment l’« infodémie » qui s’est propagée sur les réseaux sociaux à l’occasion de la pandémie de COVID-19.

Pour combattre la désinformation, il est essentiel d’encourager la coordination entre ces acteurs de premier plan que sont les entreprises technologiques, la société civile, les vérificateurs de faits et les institutions académiques. La communication stratégique est également un instrument qui joue un rôle clé et qu’il convient d’appréhender selon une approche élargie. En général, les campagnes de désinformation ne se limitent pas à la diffusion de fausses nouvelles ; elles prétendent aussi construire un récit trompeur dans l’intention de nuire, d’où le lien étroit entre la lutte contre la désinformation et la communication stratégique, la diplomatie publique et la communication numérique.

En juin 2018, le Conseil européen a confié à la Commission européenne et à la haute représentante de l’Union pour les Affaires étrangères et la Politique de sécurité la tâche de présenter avant décembre 2018, en coopération avec les États membres et dans le droit fil des conclusions du Conseil européen de mars 2015, un plan d’action pour une réponse coordonnée contre la désinformation. Ce plan d’action a été présenté et approuvé au Conseil européen des 13 et 14 décembre 2018.

Parmi les mesures prévues dans le plan d’action européen contre la désinformation, il convient de souligner, en raison de son caractère éminemment pratique, la création d’un système d’alerte rapide (SAR), qui a vu le jour en mars 2019 avec la mise en place d’un réseau de contacts nationaux. Lorsque ceux-ci détectent une campagne de désinformation, ils peuvent immédiatement lancer l’alerte sur une plateforme numérique spécialisée, qui facilite les échanges d’information entre les États membres et l’Union. Ce mécanisme, qui garantit la nécessaire coordination entre les partenaires européens, leur permet à la fois de surveiller les réseaux pour identifier les campagnes et autres actions de désinformation et, si nécessaire, de définir des ripostes communes.

L’Espagne s’est résolument investie dans la lutte contre la désinformation et elle œuvre activement au sein de l’Union européenne, surtout depuis 2018, à la mise en place de procédures rapides et efficaces pour combattre ce fléau. Dans le cadre de sa participation active au SAR européen, elle a développé la coordination en interne pour détecter la désinformation et y apporter une réponse. L’ensemble de notre administration est impliqué dans la lutte contre la désinformation, chaque ministère veillant à repérer les menaces éventuelles dans son domaine de compétence. En complément des mesures mises en œuvre en coordination avec l’Union européenne, l’Espagne conduit de multiples actions en matière de lutte contre la désinformation au sein de ses institutions. Elle a également mis en place des mécanismes de coordination permanente entre les différents organes de l’Administration, parmi lesquels il convient de souligner la Commission permanente de lutte contre la désinformation, créée en mars 2019.

L’OTAN lutte aussi activement contre la désinformation, un phénomène qu’elle inscrit dans le cadre des nouvelles menaces hybrides et qu’elle place au cœur de sa stratégie de communication. Elle a mis en place des programmes pour analyser les informations et déceler ainsi les tendances en matière de désinformation, ce qui lui permet de réagir plus rapidement et de développer des contenus spécifiques. La page « Mise au point », qu’elle publie sur son site web, en est un exemple.

RADIO DAB+ “PULSE MEDIA NEWS”™.

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AGIR MAINTENANT POUR PROTÉGER NOS DÉMOCRATIES DE LA DÉSINFORMATION

Quelle est la valeur sous-jacente qui est au cœur des médias ? 

Pour moi, tout est une question de confiance .

Les auditoires doivent savoir qu’ils peuvent se tourner vers leur radiodiffuseur pour obtenir des nouvelles et des informations exactes, impartiales et bien documentées. Dans plus de 90 % des marchés, les informations des médias de service public sont systématiquement les plus fiables. Cette confiance est durement gagnée et n’est pas tenue pour acquise. Il s’est construit au fil des décennies, sur la base des fondements du journalisme indépendant, des commentaires objectifs, de la vérification des faits et de la responsabilité.

En ce qui concerne les médias sociaux, le public est plus prudent. En Europe, seulement 20 % des personnes font confiance à ce qu’elles lisent sur les plateformes de médias sociaux.

La vérification est un moyen clé pour le public de comprendre d’où viennent leurs nouvelles sur les réseaux sociaux et, jusqu’à récemment, a fait de Twitter une proposition convaincante pour de nombreuses entreprises de médias. Maintenant, cependant, nous sommes dans le domaine du « payer pour jouer », détruisant la confiance du public dans le fait que les tweets qu’il a choisi de lire et de partager proviennent de la source qu’il prétend être. Les radiodiffuseurs ont également vu leurs comptes arbitrairement étiquetés «financés par le gouvernement», «financés par l’État» ou «affiliés à l’État». Dans le même temps, la propagande gouvernementale ouverte de pays comme la Chine et la Russie a inexplicablement été autorisée à se répandre sans contrôle.

Alors que Twitter a construit la position enviable de frapper au-dessus de son poids en termes d’influence sur l’opinion publique, ses nouvelles incohérences et son autorité sans entraves ont des implications importantes pour un public déjà aux prises avec la désinformation. Dans un espace en ligne instable, cette confusion pourrait bien accélérer la disparition d’une plate-forme qui a été un forum incontournable pour les entreprises de médias et les particuliers du monde entier.

En érodant la confiance et la crédibilité, Twitter pousse l’espace en ligne dans au moins trois directions :

Premièrement, les utilisateurs peuvent passer à des plateformes avec des règles plus claires et ouvertes à un dialogue adulte avec leurs parties prenantes. 

Deuxièmement, des méthodes de vérification alternatives émergeront que le public pourra comprendre et faire confiance. 

Et troisièmement, la réglementation qui est le résultat d’une négociation appropriée et ouverte interviendra pour corriger les géants de la technologie surdimensionnés. 

Nous voyons déjà des preuves de la première tendance avec des MSP de confiance comme la radio suédoise qui choisissent de s’éloigner de Twitter en raison de sa valeur diminuée. Après vérification, des labels comme Journalism Trust Initiative ou International Center for Journalists qui sont gagnés et non achetés se développeront. Et sur le plan réglementaire,

Alors que l’économie numérique a propulsé la société de multiples manières positives et vu des entrepreneurs comme Elon Musk créer des entreprises remarquables, la concentration de l’autorité entre les mains d’un individu à la tête d’une entreprise qui communique avec les médias par le biais d’emojis et sans règles transparentes est un vrai recul. La vérification doit être fidèle à ce qu’elle dit – lorsque les gens voient le nom de leur radiodiffuseur, ils doivent savoir qu’ils peuvent faire confiance aux informations proposées comme étant indépendantes et corroborées. Le public doit pouvoir accéder facilement à des actualités et des informations fiables sur toutes les plateformes et avoir confiance en la source de ces actualités.

Le manque de transparence et de responsabilité entourant les décisions politiques de Twitter est mauvais pour les radiodiffuseurs. Mais, plus important encore, c’est mauvais pour les citoyens. Nous devons agir maintenant pour protéger nos démocraties et inviter Elon Musk à reconnaître que des règles et des responsabilités s’appliquent dans tous les domaines de ses entreprises, y compris sur la route, dans l’espace et également dans l’espace en ligne.

Combattre la désinformation aux États-Unis et au-delà

Nous travaillons depuis longtemps pour aider les auditeurs à lutter contre le fléau de la désinformation endémique aux USA. La prévalence des mensonges lors des récentes élections de mi-mandat aux États-Unis est le dernier rappel en date de la raison pour laquelle ce travail est tout aussi vital dans notre propre arrière-cour.

Nous avons répondu au besoin avec des programmes pour lutter contre la vague de désinformation dans le public anglophone américain et pour amplifier les sources fiables dans la couverture de tout, de la course du gouverneur du Nouveau-Mexique au second tour du Sénat de Géorgie.

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